d’après Karel Čapek
adapté par Evelyne Lœw
mis en scène par Robin Renucci
pour le CDN des Tréteaux de France
maquettes préparatoires
d’après Karel Čapek
adapté par Evelyne Lœw
mis en scène par Robin Renucci
pour le CDN des Tréteaux de France
adapté par Evelyne Lœw
mis en scène par Robin Renucci
pour le CDN des Tréteaux de France
Création juillet 2018 au Festival Villeneuve-en-Scène avec Judith d’Aleazzo, Solenn Goix, Julien Leonelli, Sylvain Méallet, Gilbert Epron et Henri Payet (en alternance), Julien Renon, Chani Sabaty Mise en scène Robin Renucci
Adaptation Evelyne Loew
Scénographie Samuel Poncet
Objets / Accessoires animés Gilbert Epron
Lumières Julie-Lola Lanteri-Cravet
Images Philippe Montémont
Costumes et perruques Jean-Bernard Scotto assisté de Cécilia Delestre et Judith Scotto
Bruitage Judith Guittier
Caoch vocal et linguistique Irène Kudela
Assistante à la mise en scène Karine Assathiany
Entre la fantaisie de Jules Verne et la science-fiction d’Orwell, entre récit d’aventure et dystopie, le roman de Karel Čapek La Guerre des salamandres met en scène des créatures aux qualités presque humaines, surexploitées par l’homme.Publié en 1936, le roman brille par son acuité sur le devenir de l’Europe, sa pertinence dans la peinture du capitalisme et son anticipation des problèmes écologiques.
L’enjeu de cette scénographie est de traiter, sans changement majeur de décor, d’une mondialisation vue à différentes échelles. Nous passons d’une ruelle de port à une assemblée de dirigeants internationaux, d’une loge de grand lobby capitaliste à une plage tropicale isolée… L’analogie avec notre planète se fait par l’importance des formes et des mouvements circulaires. Tout dans ce dispositif rayonne et gravite autour d’un point central : Une construction ronde en bois, parfois table d’assemblée parfois promontoire ; surplombée d’un réflecteur circulaire porté par un bras de levage métallique aux allures de robot, permettant des effets de machinerie et de lumière. Cette dualité de bois et de métal, représente métaphoriquement le monde de Karel Kapeck du début du 20eme siècle, en pleine mutation industrielle, tiraillé entre modernité et tradition. La machinerie est actionnée à vue par les comédiens. Le personnage de l’auteur surplombe le plateau depuis sa girafe de bibliothèque, chaire pour s’adresser au public.
Création juillet 2018 au Festival Villeneuve-en-Scène avec Judith d’Aleazzo, Solenn Goix, Julien Leonelli, Sylvain Méallet, Gilbert Epron et Henri Payet (en alternance), Julien Renon, Chani Sabaty Mise en scène Robin Renucci
Adaptation Evelyne Loew
Scénographie Samuel Poncet
Objets / Accessoires animés Gilbert Epron
Lumières Julie-Lola Lanteri-Cravet
Images Philippe Montémont
Costumes et perruques Jean-Bernard Scotto assisté de Cécilia Delestre et Judith Scotto
Bruitage Judith Guittier
Caoch vocal et linguistique Irène Kudela
Assistante à la mise en scène Karine Assathiany
Adaptation Evelyne Loew
Scénographie Samuel Poncet
Objets / Accessoires animés Gilbert Epron
Lumières Julie-Lola Lanteri-Cravet
Images Philippe Montémont
Costumes et perruques Jean-Bernard Scotto assisté de Cécilia Delestre et Judith Scotto
Bruitage Judith Guittier
Caoch vocal et linguistique Irène Kudela
Assistante à la mise en scène Karine Assathiany
Entre la fantaisie de Jules Verne et la science-fiction d’Orwell, entre récit d’aventure et dystopie, le roman de Karel Čapek La Guerre des salamandres met en scène des créatures aux qualités presque humaines, surexploitées par l’homme.Publié en 1936, le roman brille par son acuité sur le devenir de l’Europe, sa pertinence dans la peinture du capitalisme et son anticipation des problèmes écologiques.
L’enjeu de cette scénographie est de traiter, sans changement majeur de décor, d’une mondialisation vue à différentes échelles. Nous passons d’une ruelle de port à une assemblée de dirigeants internationaux, d’une loge de grand lobby capitaliste à une plage tropicale isolée… L’analogie avec notre planète se fait par l’importance des formes et des mouvements circulaires. Tout dans ce dispositif rayonne et gravite autour d’un point central : Une construction ronde en bois, parfois table d’assemblée parfois promontoire ; surplombée d’un réflecteur circulaire porté par un bras de levage métallique aux allures de robot, permettant des effets de machinerie et de lumière. Cette dualité de bois et de métal, représente métaphoriquement le monde de Karel Kapeck du début du 20eme siècle, en pleine mutation industrielle, tiraillé entre modernité et tradition. La machinerie est actionnée à vue par les comédiens. Le personnage de l’auteur surplombe le plateau depuis sa girafe de bibliothèque, chaire pour s’adresser au public.